Les graphes sont miniaturisés sous forme de boutons à cliquer dans la barre de menu, en haut de page.
Une fois cliqués, ils s’affichent en grand dans la présentoir paramétrable.
Le graphe excédentaire retourne, miniaturisé, dans le menu.
Le système solaire, jusqu’à l’orbite de Mars.
Le zoom modifie son apparence.
En cochant les 🧩 options, le graphe des orbites et saisons révèle la rotation des planètes, au moyen d’une aiguille,
comme un pieu vertical planté sur l’équateur.
Nous voyons ainsi :
Une longue semaine de douze jours lunaires
Par analogie avec la semaine, le calendrier hégirien nomme chaque lunaison, selon un cycle de 12.
Puisqu’une lunaison est un jour solaire sur la Lune.
Le calendrier hégirien n’est pas utilisé pour réguler la vie civile. Il sert essentiellement à fixer les fêtes religieuses musulmanes 🕌.
La plus connue des douze lunaisons est Ramadan.
La lente rotation du dodécagone compense la différence de durée entre l’année tropique et l’année hégirienne (11 jours).
Voilà pourquoi le ramadan, comme les onze autres lunaisons, reviennent chaque année onze jours plus tôt que l’année précédente.
Si le Simulateur n’est pas en uchronie, le graphe des saisons présente le calendrier hégirien en cochant la case des libellés, avec un zoom élevé.
Pour sortir du mode uchronie, cliquez sur le bouton Maintenant ou Animer (⏳ le temps), ou modifiez la date.
Reprise du précédent, en 3D et perspective, avec illustration des éclipses.
Le zoom permet d’englober l’orbite de Mars.
Illustration des phases de Vénus, tantôt étoile du matin (Lucifer) ou du soir (Vesper), conjonctions inférieure et supérieure.
Le diamètre des astres est considérablement agrandi, par rapport à la distance qui les sépare.
Par conséquent, les éclipses ont une durée anormalement longue. En réalité, une éclipse, tant solaire que lunaire, dure environ deux heures.
Comme pour les orbites et saisons, la case 🌄 point subsolaire permet d’afficher les constellations en arrière-plan.
Il s’agit donc de la saison d’en face, puisque la constellation zodiacale est derrière le soleil.
En d’autres termes, les trois constellations du secteur angulaire Hiver (Gémaux, Cancer et Lion, en 2019) sont celles dans lesquelles le soleil se trouve en été et vice-versa.
Graphe en préparation
Le zoom y joue un rôle mineur, sur l’amplitude visuelle de l’analemme.
Sans rapport avec l’équation du temps, mais avec la déclinaison du soleil, que ce graphe présente comme composante verticale de l’analemme.
Dans une ellipse verticale latérale, la saison lunaire présente la déclinaison des quatre phases lunaires principales.
En corrélation directe avec la saison:
La phase qui apparaît tout en haut de l’ellipse est au lunistice d’été.
La hauteur du soleil dans le ciel à midi. Composante verticale de l’analemme.
Elle dépend exclusivement de la saison. Le soleil est tout en haut au solstice d’été
La hauteur de la Lune à midi lunaire.
Elle dépend de la saison et de la phase. La Lune est tout en haut au lunistice d’été.
La date lunaire est la date à laquelle le soleil ferait le même trajet céleste que la Lune.
Puisque le soleil monte pendant la moitié de l’année, et descend pendant l’autre, il existe toujours une autre date symétrique, aux conditions d’éclairement identiques.
Deux jours symétriques ont :
Mêmes heures et azimuts de lever et de coucher
Mêmes angles de culmination à midi
Mêmes durées de leur jour et de leur nuit
Les dates de début et de fin du soleil de minuit, ou de la nuit polaire, en un lieu donné des calottes polaires, sont également deux dates symétriques.
Cette fonction m’a été inspirée par le vélux de mon voisin nord.
Deux fois par an, il renvoyait l’éclat du soleil dans ma chambre, orientée plein nord.
Les deux périodes se sont révélées symétriques, par rapport aux solstices.
A moins que le voisin n’entr’ouvre le vélux sur le cran d’aération.
La Lune telle que nous pouvons l’observer depuis la Terre.
L’activation de la case à cocher du point subsolaire permet de repérer l’origine des rayons solaires qui l’éclairent.
La ligne de séparation du jour et de la nuit est appelée le terminateur.
Le terminateur correspond à tous les points du globe lunaire où le soleil est au ras de l’horizon.
Il progresse toujours de droite à gauche, pour un observateur situé dans l’hémisphère nord.
En phase croissante, la Lune nous présente son terminateur du matin.
En phase décroissante, la Lune nous présente son terminateur du soir.
Chaque lunaison porte un numéro, initié à 1 au 17 janvier 1923
par le professeur Ernest Brown, selon un principe identique aux années.
Selon un principe identique à la numérotation des années, depuis la naissance supposée du Christ en l’an 1.
Sous réserve de la controverse sur l’an zéro.
Ce numéro est mentionné dans les éphémérides.
Le folklore algonquin donne un nom à chaque pleine lune de l’année.
Pleine lune | Raison |
---|---|
Du loup | On les entendait hurler |
De neige | Période des fortes chutes de neige |
Du ver | Les vers se réveillent au dégel |
Rose | Immenses tapis roses de fleurs de phlox sauvage |
Des fleurs | La nature est en fleurs |
Des fraises | Elles sont mûres |
Du cerf | Ses bois sont en pleine croissance |
De l’esturgeon | Le meilleur moment pour le pêcher |
Des moissons | Elle permet de continuer à moissonner la nuit |
Du chasseur | Le gibier est gras, c’est le moment de faire les provisions |
Du castor | Il se retire dans son abri hivernal |
Froide | Les nuits sont longues et froides |
Bleue | Si la première a lieu avant le 11 janvier, l’année compte treize pleines lunes |
L’autre face de la Lune, inobservable depuis la Terre.
Les phases y sont complémentaires à la face visible, et identiques à celles de la Terre vue de la Lune.
La Lune vue du soleil. Le globe lunaire tourne sur lui-même en une lunaison.
Depuis le soleil, il n’y a ni face visible, ni face cachée. Comme tout astre, la Lune tourne sur son axe.
Le ciel, vu du sol terrestre, tel que nous l’observons tous les jours.
Le soleil et la Lune se lèvent vers l’est, culminent plus ou moins haut, selon la déclinaison de leurs saisons respectives, puis, se couchent vers l’ouest.
Vers et non à l’est et l’ouest, car les points de lever et de coucher varient aussi selon les saisons, comme la hauteur de culmination.
Ce n’est qu’à l’équinoxe, que le lever a lieu exactement à l’est, et le coucher exactement à l’ouest.
Les diamètres étant considérablement grossis, le passage de la Lune devant le Soleil ne signifie pas, pour autant, une éclipse.
La sinusoïde cyan montre le trajet céleste de la Lune, sans tenir compte de l’élévation au nœud.
Celle-ci est représentée en vert (positive au nord) ou en rouge (négative au sud de l’écliptique)
En option, l’horizon révèle Mercure et Vénus, ainsi que leur trajet céleste apparent.
Il n’est pas tenu compte de l’élévation de la planète au nœud.
Par conséquent, Mercure et Vénus orbitent fictivement dans le plan de l’écliptique, et il y a un transit à chaque conjonction inférieure.
Astuce: En animant ce graphe par jour solaire, on voit Mercure et Vénus tourner autour du soleil.
Réglez la glissière d’heure TU pour que le soleil soit levé.
Du fait qu’elles s’écartent du soleil, les heures de lever et de coucher de Mercure et Vénus sont
dans l’hémisphère nord.
La même remarque vaut pour leurs déclinaisons. Elles auront
Par exemple, à l’équinoxe d’automne, Vénus à gauche (Vesper) se comportera comme un soleil de novembre.
Vénus à droite (Lucifer) se comportera comme un soleil de juillet.
Même principe pour Mercure, mais avec un décalage moindre, car plus proche du soleil.
Voyez l’inclinaison de l’axe des pôles par rapport au soleil, Mercure et Vénus, dans le panorama.
Cocher la case Nœud fait disparaĆ®tre le soleil, mais révèle la courbe d’élévation de la Lune au nœud, en vert.
Cette courbe verte est le trajet céleste apparent de la Lune. Ce n’est pas son plan orbital. Par conséquent, les points verts ne sont pas les nœuds.
Les nœuds lunaires sont représentés en blanc.
En cochant la case Plage, sous le titre 🌊 Marées, le graphe de l’horizon explique la dynamique des marées.
La case à cocher marées prévaut sur les options.
Partant de l’heure lunaire belge, ajoutez une heure en période de quartiers.
Ensuite, soustrayez l’établissement du port en vert ou en rouge, si négatif, pour obtenir la marée haute de référence.
Pour le littoral belge, le point de départ est l’heure lunaire belge, et non la position de la Lune, qui peut varier selon votre lieu d’observation défini par
Par conséquent, modifier votre décalage local modifie, en apparence, la position de la Lune et du Soleil.
Mais, en réalité, la Lune ne bouge pas, c’est vous qui vous déplacez sur le 50° parallèle nord, ce qui est sans incidence sur l’horaire des marées.
L’heure lunaire belge est un point de départ objectif, alors que le passage de la Lune à votre méridien ne l’est pas.
En principe, ces deux heures coïncident si vous êtes dans la timezone d’Europe centrale, comme à Bruxelles, avec un décalage local de 43 minutes.
Pour mieux observer la dynamique de la Lune et des nœuds, commencez par positionner la Lune au-dessus de l’horizon avec la glissière 🕐 Heure T.U. du cadre du 🌍 Temps Universel
Cochez la case d’heure lunaire 📌 fixe, avant de déplacer la glissière 🌒 Phase de la Lune
Le cadran interne représente l’heure solaire.
Le cadran externe représente l’heure légale.
Une aiguille dirigée vers le soleil, une autre vers la lune.
A gauche du cadran, le ciel, tel que le verrait un observateur orienté vers la Lune en permanence.
La case Heure lunaire fixe permet de fixer la Lune dans le ciel en toutes phases.
Dans ce cas, elle ne bouge qu’en fonction de sa déclinaison (saison lunaire)
La boussole et l’azimut, pilotés par les options et les libellés, permettent de repérer la direction de la Lune.
Pour l’horizon et l’horloge, la position de la Lune peut être modifiée par l’élévation au nœud, qui est la distance qui sépare la Lune de l’écliptique.
Nulle lorsque la Lune passe au nœud.
Aux petites phases (croissants), la face obscure de la Lune est faiblement lumineuse, grâce à la lumière cendrée
Les marées sont le seul phénomène astronomique qui ne se passe pas dans le ciel.
Une horloge à marée est une horloge qui fait deux tours par jour lunaire.
Le jour lunaire est l’intervalle moyen entre deux passages de la Lune au méridien, soit 24 heures 50 minutes et 28 secondes.
En théorie, la marée haute a lieu lorsque la Lune passe au méridien plein sud, et plein nord.
La marée basse lorsque la Lune est à l’est et à l’ouest, avec un léger retard, dû à la rotation de a Terre.
Cependant, les côtes font obstacle à la propagation de la marée, qui se répartit en lignes cotidales, autour de points amphidromiques.
Le décalage entre le passage de la Lune au méridien, et la marée, s’appelle l’établissement du port.
Partant de la direction de Lune, l’aiguille verte Lune * 2 tourne deux fois plus vite, comme un engrenage.
Pour être à marée haute au méridien nord et sud, et à marée basse lorsque la Lune se lève et se couche.
La glissière du cadre des marées pemet de régler l’établissement de votre port, selon votre position sur le littoral.
Pour les horloges à marée, il n’y a donc pas d’heure officielle.
Les marées ne sont pas isochrones. Elles avancent aux quartiers.
Les horloges à marées, vendues dans le commerce, ignorent les phases de la Lune, et égrènent des marées strictement isochrones de 12:25:14
Pour les régler, insérez la pile au moment de la marée haute de syzygie (pleine ou nouvelle lune).
Une semaine plus tard, au quartier, elle accusera un retard d’une heure. Elle se remettra en phase à la syzygie suivante (nouvelle ou pleine lune).
Le Simulateur Astronomique connaît la phase lunaire. Il avance donc son horloge à marée d’une heure en quartier (angle en brun)
Cochez la case Heure lunaire fixe, puis déplacez la glissière de phase lunaire, pour animer l'angle brun d’avance quartier.
Mis à part l’avance quartier, les marées ont en principe lieu à heure lunaire fixe.
Malgré tout, la précision reste très approximative. Le calcul des marées est bien plus complexe qu’une périodicité isochrone.
Ne vous fiez pas à une horloge à marée, pour planifier une activité.
Telle qu’une sortie en mer à marée haute, pour avoir du tirant d’eau, ou ramasser des moules sur les brise-lames à marée basse.
D’autres paramètres secondaires influencent encore les marées, tels que le nœud lunaire, le périgée, ou la présence du Soleil dans le plan équatorial, aux grandes marées d’équinoxe.
Le Simulateur n’en tient pas compte.
J’aurais donc besoin d’explications au sujet des facteurs perturbateurs.
Voici les horaires officiels pour Ostende.
Nous sommes habitués à la succession quotidienne du jour et de la nuit.
Avec lever du soleil à l’est, et coucher à l’ouest.
Aux pôles, où tous les méridiens se rejoignent, il n’y a plus d’est ni d’ouest. Plus d’heure non plus, puisque définie par le méridien local.
Le soleil et la lune y glissent horizontalement.
Le seul facteur de variation de hauteur est la déclinaison.
Le lever du soleil dure des semaines, à l’équinoxe de printemps.
Le coucher du soleil dure des semaines, à l’équinoxe d’automne.
Complémentaire au pôle nord, avec une symétrie centrale de 180°.
Puisque la Terre est une sphère, il existe, en tous temps, un point de sa surface où le soleil est au zénith, ainsi que pour la Lune.
Pour le Soleil, ce point se situe dans la zone inter-tropicale, en fonction de la déclinaison et de l’heure.
La largeur de la bande inter-tropicale est directement fonction de l’inclinaison de l’axe des pôles.
Il en irait de même pour la Lune, si son plan orbital était confondu avec l’écliptique.
Cependant, l’élévation au nœud peut l’amener à s’en écarter de 5.14°, à la hausse comme à la baisse.
Comme pour le soleil, les tropiques lunaires sont les deux parallèles extrêmes, au-delà desquels la Lune n’est jamais au zénith.
Cependant, ils ne sont pas fixes. Leur latitude dépend de la ligne des nœuds.
Ils sont représentés par deux parallèles verts.
Tout dépend de la position de la ligne des nœuds par rapport à l’axe des pôles.
Si l’axe des pôles penche vers l’extension nord de l’orbite lunaire, la lune sera 5.14° plus au nord que le soleil, au lunistice d’été.
Symétriquement, elle sera 5.14°, plus au sud que le soleil, au lunistice d’hiver.
C’est la période des grands lunistices. Lorsque le nœud ascendant est dirigé vers l’équinoxe de septembre.
Par contre, si l’axe des pôles penche à l’inverse de l’inclinaison du plan orbital lunaire, la lune sera :
C’est la période des lunistices serrés, lorsque le nœud ascendant est dirigé vers l’équinoxe de printemps.
Dans l’absolu, la ligne des nœuds accomplit un cycle complet en 19 ans et demi.
La case à cocher 🌄 Point subsolaire révèle les horloges universelles solaire et lunaire:
Décalées selon la phase. Identiques à la nouvelle lune, opposées à la pleine lune.
Ce graphe est révélé un peu plus tard, après pré-chargement des images saisonnières.
La Terre éclairée par le Soleil, en fonction de la saison et de l’heure.
Le point rouge symbolise votre position géographique.
Par défaut, sur le 50° parallèle nord, où sont situés la plupart des pays francophones (Belgique, France, Québec)
La longitude est déterminée par :
Le soleil va et vient d’une hémisphère à l’autre, selon celle qu’il éclaire le mieux.
Ce déplacement est dû à la déclinaison. Il faut donc le percevoir comme un déplacement en latitude, d’une hémisphère à l’autre, de part et d’autre de l’équateur.
Pour illustrer cette fonction, cochez la case 🧩 Options.
Le graphe ne montre plus le jour et la nuit, mais les deux dates en cours.
Puisque la Terre est ronde, toutes les heures sont toujours en cours quelque part. Y compris minuit.
A minuit, on change de date. On passe de la veille au lendemain.
Il y a donc toujours deux dates en cours sur Terre.
Toute la question est de savoir jusqu’où s’étendent ces deux dates.
La veille vers l’ouest, le lendemain vers l’est.
Il a donc fallu instaurer une seconde ligne de changement de date. pour arrêter l’étendue des deux dates en longitude.
Ce rôle est assumé par le méridien 180°. A l’opposé du méridien de Greenwitch, mais tout autre méridien aurait aussi très bien pu faire l’affaire.
Il y a donc, sur Terre, deux lignes de changement de date :
Exactement comme pour découper une tarte, il faut effectuer deux coupes radiales, partant du centre (du pôle).
Du fait qu’il y a toujours deux dates en cours: lorsqu’une date se termine, c’est le surlendemain qui commence.
Quand lundi se termine, lorsqu’il est minuit sur la ligne de changement de date, mercredi commence. Tout le reste de la planète est à mardi.
Globalement, chaque date dure 48 heures :
Tant pour le graphe des hémisphères exposés au soleil qu’à la lune, la case à cocher 🌄 Point subsolaire révèle les horloges universelles, comme pour les zéniths.
Un méridien est un demi-cercle imaginaire qui part du pôle nord au pôle sud.
En principe, ils sont définis au départ du méridien zéro, qui passe par l’observatoire de Greenwitch.
On peut, toutefois, prendre un autre repère d’origine, tel que le point subsolaire.
Les méridiens horaires sont des méridiens définis selon la position du soleil.
Ainsi, le méridien midi part du pôle nord au pôle sud, en passant par le point subsolaire. Le méridien Minuit est sa prolongation au-delà des pôles.
Chaque heure peut être définie comme un méridien.
Minuit est un méridien horaire. La ligne de changement de date est un méridien géographique.
Les méridiens solaires peuvent encore être subdivisés en deux catégories, selon qu’on prenne pour repère le soleil vrai (sans équation du temps),
ou isochrone (incluant l’équation du temps).
L’horloge universelle est basée sur le soleil vrai.
Le méridien minuit sur le soleil isochrone. Voilà pourquoi Minuit n’est à l’heure zéro du cadran universel que si l’équation du temps vaut zéro.
Illustant ainsi les deux définitions des méridiens horaires.
Comme le précédent, mais en prenant la Lune pour astre illuminateur.
En imaginant que la Lune émette une lumière suffisamment puissante que pour être discernable, en toutes phases.
Ce qui est une pure fiction en nouvelle Lune.
En nouvelle Lune, les deux graphes sont identiques.
En pleine lune, ils sont opposés.
Le nœud peut légèrement modifier la déclinaison de la Lune, et donc l’extension de la lune permanente / invisible autour des pôles.
En principe, la saison lunaire correspond à la saison solaire, avancée de l’angle de phase.
Un premier quartier de printemps est au lunistice d’été.
Cependant, si la Lune est à l’extension nord de son orbite, elle peut monter encore plus haut que la lune moyenne, sans élévation au nœud.
Elle éclaire alors une zone plus large que le cercle polaire arctique.
En activant les 🧩 options, le pointillé trace la limite d’éclairement de la Lune, sans considération du nœud.
Cette problématique, des cercles polaires lunaires, rejoint celle des tropiques lunaires.
Comme pour les zéniths, La case à cocher 🌄 Point subsolaire révèle les horloges universelles solaire et lunaire: